Si on vous raconte une histoire et qu'elle décrit votre vie vous en penser quoi....!!! ???
c est fou comment un conte de fée peux réciter la vie le mal être qui entoure tout et décrit
Oui cela existe il y a des élus on ne les nomme pas médiums ni voyante mais diseuse de conte
Leurs histoires conté est sublime je sais c est qu il n'y a pas beaucoup d élu pour conte
Comment ils font simplement ils se connecte au ciel et écoute ce que l on dit ensuite il récite comme un narrateur
Il n'y a pas de question sur la personne qui vient juste date de naissance
Les histoires contée ramen a la réalité la personne et elle a ses réponses cela lui permet d avancer de comprendre sa vie et pourquoi elle est la pourquoi des hauts et bas de la vie tout est dit juste dans un conte
j en ai trouver un sur internet je le. Mets pour que vous voyais
Telle qu'il a était transcrit moi sa m épate
De lire et voir ce que DIEU nous offre quel beau cadeau
Voici l histoire conté a vous de juger
SE LIBERER
Au bord d’une rivière des hommes travaillaient sans relâche à faire tourner une roue. Combien lente et répétitive pouvait paraître leur besogne à ceux qui les voyaient suer et peiner ! Pourtant leur ouvrage était nécessaire puisque c’étaient eux qui faisaient monter l’eau pour alimenter les terres et les rendre fertiles.
Jamais ces forçats ne prenaient de repos, jamais ils n’étanchaient leur soif, jamais ils ne goûtaient aux fruits que leur dur labeur avait pourtant produits. Autour d’eux, grâce à cette onde nourricière, c’était l’abondance : le blé courait entre les sillons mais leurs yeux pouvaient-ils le voir ? Les fleurs embaumaient, mais leurs nez pouvaient-ils les respirer ? Dans les arbres, les oiseaux chantaient, mais leurs oreilles pouvaient-elles les entendre ? Les grappes de raisin étaient mûres, mais leurs bouches pouvaient-elles s’en délecter ? Leurs regards, sans cesse, étaient baissés et jamais ils ne levaient la tête.
Un jour, pourtant, un enfant vint à eux. Il se tenait un peu à l’écart et se contentait
de les observer. Tels des bêtes de somme, les hommes ahanaient sous un soleil implacable. C’est à peine s’ils ralentirent la cadence lorsqu’il s’adressa à eux :
« A quoi servent tant d’efforts puisque vous-même en profiter si peu ? Pourquoi n’allez vous pas à la source où tant d ‘autres s’abreuvent ? »
« Ne vois-tu point que nous sommes esclaves et enchaînés ? » lui répondirent-ils avec irritation.
« Esclaves, certes vous l’êtes. Mais enchaînés, point. » rétorqua l’enfant. « Je ne vois d’entraves ni à vos chevilles ni à vos poignets. »
Alors, pour la première fois, ces hommes se regardèrent et virent avec étonnement qu’ils n’étaient pas captifs. Rien ne pouvant désormais les asservir, c’est enfin libres qu’ils descendirent aux berges de la rivière.
Commentaire
Bouddha dit que « tous nous pouvons boire à l’eau de la rivière ». Mais quelle est cette eau ineffable, sinon celle de la liberté enfin retrouvée ? Pour y accéder, une seule et unique façon : changer son regard. Si la tête est baissée, le mental prend le dessus. Par contre, si on lève les yeux, on découvre l’Autre. C’est la compassion, et qui, mieux qu’elle, peut nous libérer de nos chaînes, le plus souvent fictives ? Seul l’enfant a le pouvoir de provoquer cette libération, car il ne se pose pas en juge mais en observateur (« il se tient un peu à l’écart. »). De ce fait, il va créer une « unité intérieure » propice à la guérison. Et celui qui est guéri trouve enfin sa liberté.